Pedro Pascal : 11 rôles marquants au cinéma et à la télévision

Créé par Craig Mazin

Dans un monde ruiné par un champignon mutant, Joel survit. Il avance, fatigué, mais droit. Il protège Ellie, une ado immunisée. Et peu à peu, il s’attache.

Pascal, ici, joue tout en tension. Peu de mots. Beaucoup de silences. Il fait passer la fatigue, la douleur, la tendresse aussi. La série devient un drame intime dans un décor post-apocalyptique. Un Pedro Pascal à son sommet.

Créé par David Benioff

Oberyn Martell débarque à Port-Réal, flamboyant, libre, décidé à se venger. Pedro Pascal, en quelques épisodes, crève l’écran. Il apporte du panache à la série.

Son regard, son allure, sa voix : tout le rend inoubliable. Oberyn n’est pas juste un guerrier. C’est un prince blessé. Sa chute reste l’une des scènes les plus marquantes du show.

Créé par Jon Favreau

Un homme en armure, seul dans la galaxie. Il suit le code. Jusqu’à ce qu’il trouve Grogu, l’enfant. Et tout change.

Même derrière un casque, Pedro Pascal transmet des émotions. Il bouge avec précision. Il parle peu, mais chaque mot compte. Ce rôle discret et intense lui vaut l’amour des fans Star Wars – et au-delà.

Créé par Chris Brancato

Colombie, années 80. DEA, cartels, mensonges d’État. Pascal incarne Javier Peña, un agent qui doute. Qui lutte. Et qui s’épuise.

Il ne joue pas un héros. Il joue un homme. Fatigué, abîmé, mais tenace. Dans cette série, Pedro Pascal incarne la guerre contre la drogue du point de vue de la culpabilité.

De Tom Gormican

Un superfan invite Nicolas Cage sur son île. Ce fan, c’est Javi. Et Pedro Pascal le joue avec douceur. Javi est drôle. Émouvant. Un peu excentrique et cinéphile passionné.

Ce film est une comédie sur l’amour du cinéma. Pascal y est le cœur. Il fait rire, oui. Mais surtout, il touche. Et il donne envie de revoir ses films préférés.

De Matthew Vaughn

Agent Whiskey, chapeau de cowboy et revolvers en main, dégaine rapide. Pascal prend la pose, et ça lui va bien. Il joue l’agent américain dans cette suite explosive.

Derrière le style, il y a une vraie tension. Il est cool, oui, mais aussi ambigu. Et il montre que dans les films d’action, il sait captiver sans crier.

De Chris Caldwell

Petite production, grands effets. Sur une lune toxique, une ado et son père croisent Ezra. Pascal lui donne vie. Il est étrange. Pas tout à fait fiable. Mais pas méchant.

C’est un film lent, presque silencieux. Pascal y est subtil, nerveux, juste. Un rôle qui prouve que même sans budget, il brille.

De Ethan Coen

Deux jeunes femmes en road trip. Une valise volée. Des criminels qui les suivent. Et Pedro Pascal en collectionneur bizarre, obsédé par des objets rares.

Son rôle est court, mais stylé. Il ajoute au ton du film, mi-sérieux, mi-burlesque. Il joue sur le fil, et c’est justement ça qui fonctionne.

 De Ridley Scott

Dans cette suite tant attendue, Pedro Pascal incarne Marcus Acacius, un général romain tiraillé entre loyauté et ambition. Son personnage apporte une profondeur supplémentaire à l'intrigue, explorant les complexités du pouvoir et de l'honneur dans une Rome en pleine tourmente. La performance de Pascal a été saluée pour sa nuance et son intensité, contribuant à faire de Gladiator 2 un ajout mémorable à la saga.

Créé par Bruno Heller

Deux épisodes. C’est tout ce qu’il faut. Pascal joue Marcus Pike, agent du FBI. Courtois, calme. Une présence rassurante. Il n’éclipse pas les autres. Il complète.

Un petit rôle, mais bien senti. Déjà, il montre ce qu’on verra plus tard : cette capacité à exister en quelques gestes.

De Patty Jenkins

Maxwell Lord est un vendeur de rêves. Littéralement. Il manipule les désirs des gens, et ça tourne mal.

Pascal en fait un personnage grandiloquent. Mais jamais ridicule. Il y a de la rage, de la peur, du regret. Et ça rend ce méchant beaucoup plus humain que prévu.